• !                                                 Coloriage de muguet pour la fête du travail

    L' origine de la tradition du muguet.
    Cette tradition française remonte au début du XXe siècle.
    En 1890, lors des premiers défilés, les manifestants portaient un petit triangle rouge, symbole de la division de la journée de travail en trois parties (huit heures de travail, de sommeil et de loisirs).
    Ce triangle rouge a ensuite été remplacé par une fleur d'églantine, fleur traditionnelle du nord de la France et symbole de la foi en la Révolution. C’est en 1907 que le muguet, symbole du printemps en Ile-de-France, a remplacé l’églantine : le brin de muguet était alors porté à la boutonnière avec un ruban rouge. Dès lors, il est devenu habituel d'offrir un brin de muguet le jour de la Fête du Travail.

     

     

    La fête du travail est une fête internationale marquée par des manifestations du mouvement ouvrier dans le monde entier. Elle est célébrée à la date du 1er mai dans de nombreux pays du monde même si elle n’est pas toujours un jour férié légal. En Allemagne, le 1er mai, on porte traditionnellement un œillet rouge à la boutonnière. Au Royaume-Uni et en Irlande, la fête du travail n'est pas célébrée le 1er mai mais le premier lundi de mai. En Amérique du Nord, la fête du travail officielle (Labor Day) est célébrée le premier lundi de septembre mais il y a aussi une fête des travailleurs (jour non férié) le 1er mai.

     

    Bon premier mai !


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  • L’image contient peut-être : 1 personne, assis et nourriture

    Sarah Boutiouta

     

     

    Je découvre cette histoire sur internet, elle ouvre à la réflexion et à une plus  grande humanité, alors je la partage avec vous

    Une Dame demande :
    «Combien vendez-vous vos œufs ?»
    Le vieux vendeur répond :
    «0.50 ¢ un œuf, madame» .
    La Dame dit :
    «Je vais prendre 6 œufs pour 2.50$ ou je pars».
    Le vieux vendeur lui répond :
    «Achetez-les au prix que vous souhaitez, Madame. C'est un bon début pour moi parce que je n'ai pas vendu un seul œuf aujourd'hui et que j’ai besoin de ça pour vivre».

    Elle lui a acheté ses œufs à prix marchandé et est partie avec la sensation qu'elle avait gagné.
    Elle est entrée dans sa voiture élégante et est allée dans un restaurant élégant avec son amie.
    Elle et son amie ont commandé ce qu'elles voulaient. Elles ont mangé un peu et ont laissé beaucoup de ce qu'elles avaient demandé.
    Alors elles ont payés l'addition, qui était de 400$. Les dames ont donné 500$ et ont dit au propriétaire du restaurant chic de garder la monnaie comme pourboire...

    Cette histoire pourrait sembler assez normale vis-à-vis du patron du restaurant de luxe, mais très injuste pour le vendeur des œufs...

    La question que ça amène est:

    Pourquoi avons-nous toujours besoin de montrer que nous avons le pouvoir quand nous achetons à des nécessiteux ?
    Et pourquoi sommes-nous généreux avec ceux qui n'ont même pas besoin de notre générosité ?

    Une fois j'ai lu quelque part :

    «Mon père avait l'habitude d'acheter des biens à des pauvres à des prix élevés, même s'il n'avait pas besoin de ces choses.
    Parfois, il les payait plus cher. J'étais stupéfait. Un jour je lui ai demandé «pourquoi fais-tu ça papa?»
    Alors mon père répondit :
    «C' est une charité enveloppée dans la dignité, mon fils»

    Je sais que la plupart d'entre vous ne partageront pas ce message, mais si vous êtes l'une des personnes qui à prit le temps de lire jusqu'ici... Alors ce message de tentative «d'humanisation» aura fait un pas de plus...
    dans la bonne direction...  


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  •  

     

    Toujours il avait rêvé d'aventures

    et dans sa tête combien il en avait vécues !

     

    C'était un chercheur d'or,

    un amateur de nouveauté,

    un goûteur de beauté,

    un coureur.

     

    Mais en réalité, à cinquante ans passés, il constate

    que d'aventures, en réalité,

    il en a vécu très peu

    et encore manquaient elles de saveur,

    car il avait trop peur,

    peur du qu'en dira-t-on,

    peur de s'aliéner,

    peur de se perdre.

    Le rêve et la réalité restaient à l'opposé.

    Et la frustation en lui est devenue blessure

    béante, désespérante.

     

    Et, un jour, il a rencontré une ogresse aux yeux  de velours.

    Il s'est cru très audacieux, très courageux:

    "regardez ce que j'ose faire"

    Il s'est imaginé preux chevalier, braveur d'interdits.

    Et l'ogresse a applaudi.

    Pour le capter,

    elle lui a fait croire qu'elle était prête à se sacrifier

    à l'oeuvre à  créer.

    Elle est partie en croisade avec lui.

    Mais ce qu'elle voulait, c'était seulement le hacher menu.

    Et lui n'a rien compris et le piège s'est refermé.


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  • Encore un texte retrouvé  écrit il y a environ trente ans;

    Comme tout cela est ancien et pourtant actuel.

     

    Ami, pourquoi te battre

    avec les armes de ceux d'en face

    et pourquoi de petitesse en petitesse

    avancer la bouche pleine de fiel?

    Tu te déssèches, tu t'aigris,

    Tu te désertifies

    Et le lieu que tu veux défendre

      se rabougrit avec toi .

     

    Ami, prends un peu de hauteur,

    sois large, sois génèreux,

    délaisse la révolte stérile ,

    cesse les combats inutiles

    et invite les tous  à la rencontre.

    Crois naïvement à la fête.


    12 commentaires
  • Jeudi 28 juin, je vous proposais un article "Fin de vie"...

    J'ai lu tous vos commentaires avec beaucoup d'intérêt.

    Je n'ai rien dit sur mon ressenti, pour laisser ceux et celles qui me liraient, libres d'exprimer le leur en toute liberté et sincérité.

    A présent je peux et veux répondre à vos commentaires.

    Non, je n'ai pas d'admiration pour cette personne qui continue à servir sa mère malgré les rebuffades et l'indifférence de cette dernière..Mais j'ai beaucoup de compassion et d'estime pour elle...Quelle blessure profonde a dû être la sienne pour qu'elle continue à espérer, contre toute attente, qu'un jour, enfin, sa mère lui montrera de l'intérêt et même un peu d'amour. Car elle n'en a jamais eu , la pauvre...Sa maman  a toujours été ainsi , égoîste et menant son monde tambour battant.

    Elle témoigne d'un peu plus de gentillesse avec son fils qui habite loin et ne vient pas souvent.

    Mais sa fille, cette lèche-bottes, toujours prête à faire tout ce qu'on lui demande, cette fille, au fond, elle la méprise et éprouve même un certain plaisir à la manipuler...Si la fille cessait d'attendre une affection que sa mère est incapable de lui donner, elle mettrait une barrière à cette possession abusive, elle n'est pas un objet, elle n'est pas une esclave...Et sentant que sa fille prend ses distances et refuse d'être manipulée, la mère lui accorderait peut-être un peu plus d'estime...

    Mais , comme le dit l'une de vous : "les ailes rognées dès le départ repousseront-elles?"

     

    Heureusement, ce n'est pas l'âge qui rend acariâtre et méchant, certains se bonifient  au contraire...

    Mais la maladie parfois change une personne...Je connais un  homme , un brave homme toute sa vie, et maintenant que sa femme est morte, il refuse de voir sa fille  s'imaginant que celle-ci veut le voler...Quelle douleur pour elle mais elle ne lui en veut pas, elle comprend bien que c'est la maladie qui lui a fait perdre la raison et elle continue à s'inquiéter de lui, à lui faire une petite visite  quand sa folie le laisse en paix...

    Bien sûr, le véritable amour,c'est aimer sans rien attendre de l'autre, trouver sa joie dans le don que l'on fait à l'autre...Mais on peut aimer et se respecter soi-même et savoir se faire respecter...

    Bien sûr, on peut se dire aussi que, pour que cette vieille femme manifeste un tel dédain envers sa fille, c'est peut-être parce qu'elle a elle-même subi de graves traumatismes dans son enfance et cela l'a rendue incapable d'aimer...

    Bien sûr, j'admire toutes les personnes qui veillent chaque jour à rendre la fin de vie de leurs parents plus douce et moins douloureuse.

    Il est vraiment difficile d'exprimer de façon juste ce que l'on ressent.

     


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